Dans la vie, je ne peux ni forcer l’amour ni forcer la paix.
Par contre, je peux véhiculer ces deux valeurs un peu plus chaque jour.
Je peux semer davantage de bienveillance, et de tolérance.
Tous les matins, je peux faire preuve de gratitude envers la vie.
Je peux m’éloigner de ce qui me détruit.
Et garder en tête, ce qui me rend heureuse.
Avec le temps, je peux apprendre à faire de mes pensées : un fleuve d’optimisme.
©Aurélie Dechambre, le 14 janvier 2018. Tous droits réservés.
