En ce funeste mardi,
Gronde la colère d’un peuple meurtri…
Dans un vacarme assourdissant,
Beyrouth pleure ses enfants,
Silence et ténèbres,
Tristesse et veillées funèbres.
Beyrouth, nation à l’agonie,
Dans tes rues n’errent plus,
Que des âmes perdues,
En quête du moindre signe de vie.
Beyrouth, ville dévastée,
Tu dois encore y croire,
La lumière succèdera à la nuit noire,
Force et courage à nos frères libanais.
©Aurélie Dechambre, Août 2020
